Réservez votre vol Paris-Alger et partez à la découverte d’ Alger. Enivrés par la clarté rayonnante qui recouvre tout le pays et aussi par la couleur blanche des bâtiments qui chevauchent la colline, les français ont appelé cette grande ville qui fait dos au désert : « Argel ». Cette ville, faisant face à la méditerranée avec ses plus de trois millions d’habitants possède l’un des plus grands ports de tout le continent. Capitale d’un des pays les plus grands et les plus riches de toute l’Afrique, Alger se subdivise en deux parties et se trouve à cheval entre le présent et le passé. La première plus moderne longeant la côte et la seconde partie plus ancienne, la Casbah, la vieille médina, perché sur une colline à 120 mètres sur le niveau de la mer.
Compagnies aériennes proposant des vols pas chers Paris-Alger
De nombreuses compagnies proposent des vols Paris-Alger sans escale, ce qui vous permet de bénéficier d’un large choix de tarifs attractifs : Air Algérie, Air France, Aigle Azur ou encore Tassili Airlines font partie de celles qui affrèteront peut-être votre vol vers Alger. Pour des vols avec escale on retrouve la compagnie Iberia qui propose des vols Paris-Alger avec escale à Madrid et une durée de vol d’environ 4h, il y’a aussi Vueling avec escale à Barcelone. En direct, le voyage dur entre 1h10 et 1h15 minutes.
Vous atterrirez à l’aéroport d’Alger situé à une quinzaine de kilomètres du centre-ville. Pour environ 1000DA vous pourrez prendre un taxi et rejoindre le centre-ville, vous pourrez aussi louer une voiture à l’aéroport Houari Boumédiène.
Alger bénéficie d’un climat méditerranéen. L’été à Alger est long, chaud et sec. L’hiver est doux et humide, la neige est rare mais pas impossible. Les pluies sont abondantes et peuvent être diluviennes. Il fait souvent chaud surtout de la mi-juillet à la mi-août. Pour visitez Alger aucune saison ne sera déplaisante mais si vous souhaitez profiter de températures qui restent raisonnables et ne dépassent pas les 32°C, vous choisirez les dates de votre vol Paris-Alger pendant le printemps ou le début de l’automne.
Pour un billet moins cher
Malgré les grandes chaleurs de l’été, il reste la saison la plus prisée qu’il est préférable d’éviter si vous souhaitez réservez votre billet Paris-Alger pas cher! Notez que les mois de mai, septembre et octobre présente des tarifs abordables si on les compare aux autres périodes de l’année. Si vous pouvez éviter d’aller en moi de juillet, votre vol n’en sera que moins cher.
Un peu sur Alger
Alger coloniale
Durant ses 132 années d’occupation, la France a totalement changé la ville d’Alger du tout au tout. En tant que capitale de l’empire colonial, elle a eu pour objectif, dès le début de l’occupation, de se métamorphosé en une grande ville française. Quand bien même Alger pourrait être qualifier de second Marseille, notamment de parce qu’elles se font face, elle est bâtie selon le même style architectural que la ville de Paris, la capitale française. Sous la houlette de Napoléon III, la ville d’Alger s’accommode de toute la grandeur et l’immensité de la Capitale française. L’imposant boulevard du front de mer, le boulevard khemisti (ex-Laferrière) de même que le style néoclassique des bâtiments et le luxuriant jardin d’Essai, pour ne citer que ceux-là peuvent sans doute aucun en attester.
Malgré, les efforts entrepris par Alger dès les premières années de sa libération pour devenir la capitale d’un pays indépendant, notamment en érigeant des monuments ou des établissements a forte symbolique, tel que le Maqâm Echahid ou l’hôtel El-Aurassi, la pâte du colonisateur demeure indélébile. Dès la proclamation d’indépendance, les citadins d’Alger se sont employés à se réapproprier cette cité occidentale de laquelle ils s’étaient alors détournés. Les artères, les places ainsi que les lieux publics se voient renommés. Certaines bâtisses comme les anciennes Galeries de France, dont l’écriteau a été camouflé ou encore l’emblématique bâtiment de la parisienne tombe face à la rancœur du passé. C’est non sans fierté que la mosquée Ketchaoua récupère ses attributions à l’indépendance, toutefois les marques du passé sont parfois dur à supprimer, la grande cloche à l’arrière de la mosquée peut en attester. Alger est cette cité de passion où se s’entrelacent aisément le passé et le présent. L’ancienne bourgade coloniale est fort agréable à découvrir ou à redécouvrir, pour ceux qui l’auraient visitée pendant l’occupation française. Les pieds-noirs, à l’image de pèlerins, retournent à l’endroit de leur enfance avec comme quête la recherche d’un immeuble, d’un voisin, d’une école, d’une épicerie ou de la tombe de leurs ancêtres…
Une excursion de quelques jours peut alors être dédiée à la découverte ou au souvenir de l’Alger de l’époque coloniale.
Sur les traces des vestiges de la Régence d’Alger
La Casbah de l’ancienne capitale coloniale étale sur 48 ha l’inestimable patrimoine du règne d’Alger : citadelle, palais ottomans, habitations traditionnelles, mosquées anciennes, souks et fontaines…
Maintenant résidences d’Etat pour la majorité, et aussi ambassades, résidences privées, ou même musée ou gîte, elles étaient naguère Djenane El-Mufti, villa Mustapha Raïs, villa Mustapha Pacha, Djenane Ben-Omar. Pendant promenades dans les hauteurs de la localité, vous ne serez pas surpris de connaître plusieurs villas, qu’on appelait donc les Djenanes.
Si c’est dans l’ancienne cité, autour du palais Djenina, que s’organisait l’existence sous la Régence, la situation ottomane est pourtant visible au-dessus des vieux remparts de la Casbah. Il était question de maisons traditionnelles, bâties en tous points de façon similaireaux maisons de la Casbah, mais qui possédaientde très grands espaces et notamment de luxuriants jardins.
L’Algérois antique
Les amoureux de pierres antiques seront heureux de la localisation, à une distance inférieure à cent km d’Alger, de deux sites archéologiques qui rappellent le riche passé phénicien et romain de l’Algérie : Tipasa et Cherchell. Sur l’asphalte de ces sites, est érigée, sur l’une des collines du Sahel, un édifice mystérieux qui aurait fait office de caveau à des souverains numides de la Maurétanie césarienne et qui a été nommé le Tombeau royal de Maurétanie.
Alger, laboratoire architectural
Qui est incollable sur l’architecture et aux questions portant sur l’urbanisme ne s’empècherait pour rien au monde de faire un voyagerà Alger. Cette cité bâtie en amphithéâtre a attiré un bonnombred’architectes et a été le moteur de leurs songes les plus fous, notamment ceux de Le Corbusier avec son programme Obus, anticipant un long et incroyable tout architectural harpentant la totalité baie d’Algeret ce sur des multitudes de bornes. Le Corbusier n’a signé pas un seul édifice à Alger, mais ses idées novatrices et sa doctrine architecturale ont façonné la ville en inspirants les œuvres de plusieurs architectes, tel que par exemple l’Aérohabitat, qui tire son inspiration de La cohesion d’habitation de la cité phocéenne, ou la glorieuse bâtisse-pont Burdeau. Le terraindifficileayant servie de base pour la construction de la ville a nécessité de nombreuses gymnastique et l’usage de composants dernier cri. Les normes et spécifications de construction étant moins rigide que celles présentes en l’Europe, les architectes ont alors réussià réaliser leurs idées novatrices à Alger, qui se transforma en un gigantesque laboratoire architectural. La casbah, unique sur l’ensemble du globe, a inspiré et inspire encore aujourd’hui plusieurs architectes et urbanistes, tel que Ravéreau, ou Le Corbusier qui a développé son principe du Modulor avec comme base l’ancienne cité. Découvrir Alger, c’est faire un road trip dans des siècles et des siècles d’architecture. Des traces des dynasties arabo-berbères aux bâtisses post indépendance, le plannings’annonce bien rempli : architecture Deuxième Empire de Frédéric Chassériau, néo-mauresque de l’impressionnante Envoie, moderniste de une cathédrale du Sacré-Coeur, futuriste de lavoûte du stade du 5-Juillet élaborée par Oscar Niemeyer et celle si spécifique des habitations élaborés par Fernand Pouillon…
Alger spirituel
Algerpeut aussifaire l’objet d’un voyage spirituel. L’Eglise d’Algérie se développea travers des lieux à forte consonnance spirituelle telle que la basilique Notre-Dame-d’Afrique, la cathédrale du Sacré-Coeur ou le monastère de Tibhirine. Ces endroits saints font souvent l’objet de visites des pèlerins. Certains endroits incitent aussi à la méditation, tel que le mausolée Sidi Abderrahmane. La foi musulmane peut aussi se pratiquer dans des édifices a forte symboliques a l’image des mosquées de Sidi Ramdane, El-Djedid ou El-Kebir, et dans un futur proche à l’intérieur de la plus imposante mosquée d’Afrique, la dernière mosquée d’Alger qui est pour l’heure en pleine réalisation.